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C’est un fait, les voitures électriques restent chères. 32 500 € pour une Renault Zoé, 32 700 € pour une Peugeot e-208 : même une fois déduits le bonus écologique de 6 000 € (5 000 € en juillet 2022), l’éventuelle prime à la conversion et les aides locales, le ticket d’entrée moyen des petits best-sellers français est élevé. On trouve aussi des propositions très chics de plus petites citadines avec les Mini Electric (33 900 €) ou Honda e (35 060 €), qui se payent cependant au prix fort. Reste l’exception Dacia, qui, avec sa Spring, propose une offre défiant toute concurrence (17 090 €) mais avec des performances vraiment limitées et une finition spartiate. Des offres disparates, alors que les citadines sont pourtant idéales pour l’usage électrique, roulant toujours en mode zéro émission...
seat (x2) – FIAT – Volkswagen – RENAULT
Ce dont personne ne parle, est la pollution engendrée par le roulement des pneumatiques
Bruit et poussière !
Quelle solution va t'on trouver ?
Les diesels en occasion. Ça brade en ce moment.
Pour le moment, les constructeurs ne proposent que des versions électrifiées de leurs voitures.
Il faudrait des modèles plus adaptés aux nouveaux besoins de mobilités :
- trajet uniquement en ville,
- trajet banlieue ville
Par exemple, un véhicule permettant de transporter 2 personnes avec 2 vélos et/ou trottinettes.