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Le piège est-il en train de se refermer sur l’industrie automobile du Vieux Continent ? Les batteries de voitures électriques nécessitent de grandes quantités de lithium, cobalt et nickel dont certains constructeurs automobiles européens pourraient ne pas disposer en quantité suffisante dans les années à venir, selon une analyse publiée par Transport & Environment (T & E).
Tesla et BYD mènent la danse
Sur la base des contrats rendus publics, les constructeurs automobiles présents sur le marché européen ont sécurisé seulement 16 % des principaux métaux nécessaires à la fabrication de batteries dont ils auront besoin jusqu'en 2030, selon les calculs de l'ONG bruxelloise. Seuls les géants de la voiture électrique Tesla et BYD font « suffisamment d’efforts pour garantir leur approvisionnement […] afin d’atteindre leurs objectifs de vente pour 2030 », selon T & E. Ils utilisent par ailleurs des batteries sans nickel ou sans cobalt. La plupart des constructeurs ont bien garanti leurs capacités de production de batteries en multipliant les projets d’usines.
Relocaliser toute une filière
Mais la plupart « se rendent tout juste compte qu'il faut sécuriser les approvisionnements en métaux alors que la compétition mondiale est féroce », souligne l'auteur du rapport. Volkswagen, Ford, Stellantis ont également fait des efforts, tandis que Renault doit encore préciser ses engagements éthiques, selon T & E. Jaguar Land-Rover, Mercedes, Volvo, Toyota, BMW, et Hyundai-Kia doivent renforcer leur stratégie d’approvisionnement, selon l’association. Par ailleurs, les constructeurs européens devraient davantage soutenir localement l’industrie naissante des minéraux pour batteries, des start-up de recherche aux raffineries, souligne T & E.
La technologie évolue rapidement. Les métaux rares d'aujourd'hui seront certainement moins sollicités dans le futur car les chercheurs trouveront des solutions moins chères et plus efficaces. Regardez déjà le lithium des batteries est en voie d'être doublé par... Le silicium lequel est très abondant.
@lecteurdijon 05-12-2023 • 13h58,
L'actualité judiciaire contredit votre affirmation...
Existent de nombreuses casses de moteurs thermiques de véhicules Peugeot...
En cause la non fiabilité ou sous-qualité des tendeurs de courroies accessoires très sollicités par la fonction "Stop and go", tout comme celle des courroies et chaines de distribution...
Et puis maintenant avec les pluies diluviennes de novembre, de nombreux préjudices d'inondation du plancher "passager AV", pourtant ici, un vice caché connu depuis 2013, l'obturation les puits et clapets "fantômes" de vidange de la baie AV, collectant les eaux pluviales du pare-brise... Déchets végétaux, lichens, cela sans que ce constructeur daigne signaler à ses clients l'existence desdits clapets et rendre nécessaire dans les services après-vente, une visite annuelle de ceux-ci...
Un additif au carnet d'entretien, n'étant pas encore dans les cordes de ce constructeur français ?
De qui se moque-t-on !
Et que dire du patron de Peugeot qui a multiplié les mise en garde contre les voitures électriques (il avait à mon sens raison) et qui, désormais, en fait la promotion à tous les sens du terme ?
Gare aux retours de bâton, notamment lorsque les premiers véhicules vont devoir changer leur batterie pour un coût prohibitif !