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C'est un ancien parking souterrain reconverti en hangar, une sorte de bunker à deux pas de la porte de la Chapelle. Cet espace ultrasécurisé de 750 mètres carrés est comme une caverne d'Ali Baba pour qui s'intéresse un peu à l'histoire de Paris. Les réserves du pôle municipal d'archéologie qui y sont installées rassemblent, en effet, des dizaines de milliers d'objets découverts dans les entrailles de la cité.
« Le catalogue de nos collections réunit autour de 90 000 entrées qui peuvent correspondre aussi bien à une caisse de tessons de poterie qu'à une statuette », détaille Julien Avinain, directeur du pôle archéologique de la ville depuis 2019.
Longtemps laissé en déshérence, ce fonds patrimonial revit aujourd'hui. Depuis l'achèvement de son déménagement dans le nord de la capitale, l'an...
Le passé... Fascinant. Ça baigne dans un jus sans aucun intérêt. Des civilisations stratifient les sols... Et alors.
Il serait néanmoins intéressant, par de l'analyse ADN de déterminer combien de "parisiens" d'aujourd'hui avaient des ascendants dans les restes humains retrouvés. Je parie moins de 0. 01% !
C'est l'avenir des populations d'aujourd'hui qui compte !
Les vieilleries sont sans grand intérêt : sinon un article de temps à autre. À quel coût ?
J'aimerais bien y travailler.
Une précision : la stèle portant le prénom "Théodote" et le chrisme est présentée posée sens dessus dessous, sur la photo...