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On entend à peu près tout et n'importe quoi ces jours-ci sur la gestion du mouvement de grogne des agriculteurs par le ministère de l'Intérieur. Existe-t-il un « deux poids, deux mesures » en matière de gestion des troubles à l'ordre public ? On pourrait éventuellement le supposer mais, en réalité, la question s'avère beaucoup plus complexe que les apparences ne le laissent penser. D'abord parce que les commentaires et les personnes qui voudraient installer cette idée utilisent un argumentaire parfaitement fallacieux.
En effet, on ne peut pas sérieusement prêter du crédit à un tweet à la manière de Clémentine Autain lançant (en réponse à Gérald Darmanin, qui disait qu'« on ne répond pas à la souffrance en envoyant des CRS ») : « Les Gilets jaunes éborgnés, les syndicalistes criminalisés...
Soutien amical au Monde paysan, ne lâchez rien !
On aurait surtout aimer des véhicules la semaine dernière poir calmer les petits bourges anarchistes rennais qui pour la énième fois venaient piller les magasins de notre capitale bretonne. C'est la qu'on aimerait voir la police et surtout une justice efficace !
Déjà il faudrait comparer la puissance des tracteurs d'une région à l'autre, ensuite vous ne savez pas si la terre est dure à travailler cela dépend d'une région à une autre, il faut parfois beaucoup de puissance. Ce n'est sûrement pas une question de standing et c'est un outil de travail.