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À Monaco, il y a deux princes. Albert, le souverain du Rocher, et Charles Leclerc, l'as de l'asphalte. Pilote de la Scuderia Ferrari depuis 2019, le jeune homme de 24 ans est l'une des (belles) têtes d'affiche d'une discipline en plein renouveau qui affole les audiences, les recettes des billetteries et les interactions sur les réseaux sociaux. Après cinq Grands Prix compliqués et avant l'étape française du Castellet (Var), le 24 juillet, c'est un Leclerc détendu, souriant et auréolé d'une victoire en Autriche qui nous répond. En piste.
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Charles Leclerc : C'est incroyable. La Formule 1 s'est énormément développée en France...
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Hamilton le degré zéro de la lutte contre le racisme, comme noha à l’époque !
Cela n'existe que dans le subconscient et permet parfois de ne pas se mettre martel en tête lorsqu'on n'a pas réussi... !
Seul le travail permet de s'en sortir... !