Tesla : pourquoi Elon Musk a préféré l'Allemagne à la France

VIDÉO. Le constructeur californien Tesla a décidé d'installer sa « gigafactory » à Berlin. Les raisons qui l'ont conduit à écarter le plateau de Saclay en France en faveur de l'Allemagne.

Par

S’abonner sans engagement

Temps de lecture : 5 min

« Choisir, c'est renoncer », aurait dit un jour André Gide. Elon Musk a choisi Berlin et renoncé à Paris. Prenant par surprise l'auditoire lors de la remise du trophée du « volant d'or », mardi soir à Berlin, le patron visionnaire de Tesla a annoncé, le teint jovial dans sa grande veste noire, que sa future « gigafactory » pour produire sur le Vieux Continent des Tesla Model Y et Model 3 et des batteries s'installerait en Allemagne. À la clef, environ 10 000 emplois et un investissement outre-Rhin de centaines de millions, voire de 2 milliards d'euros, le montant estimé pour la construction récente de son usine de Shanghai. Autant dire que les représentants des pays européens se bousculaient au portillon de Tesla, à Palo Alto. En dévoilant ses préférences berlinoises, après le Nevada, F...

Cet article est réservé aux abonnés. S’identifier
La newsletter Économie

Tous les jeudis à 17h

Recevez le meilleur de l’actualité économique.

Votre adresse email n'est pas valide

Veuillez renseigner votre adresse email

Merci !
Votre inscription a bien été prise en compte avec l'adresse email :

Pour découvrir toutes nos autres newsletters, rendez-vous ici : MonCompte

En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisations et notre politique de confidentialité.

À ne pas manquer

Ce service est réservé aux abonnés. S’identifier
Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

0 / 2000

Voir les conditions d'utilisation
Lire la charte de modération

Commentaires (158)

  • GEMOUG

    Vous savez, ce « syndicat » qui se fiche de détruire des emplois par ses appels à la grève en plein confinement.

  • AmideDEZ

    Tout d'abord Elon Musk aime parler construction de voitures avec des ministres de l'industrie. A l'époque, le gouvernement n'en comportait pas. L'industrie est inconnue à l'agenda de Macron, rappelons-nous comment il a lâchement abandonné ALSTHOM dans le cadre du pillage extraterritorial juridique de l'impérialisme américain. Macron vient juste de nommer un sous-ministre de l'industrie chez Bruno Lemaire. Il n'est certainement pas dans l'esprit d'un ministre des finances de créer de l'activité industrielle. Ce n'est pas grave, dépêchons-nous de construire des centrales nucléaires propres (on peut) pour alimenter l'Allemagne en électricité.

  • ivo

    En Allemagne les salariés seront contents et les demandes syndicales se régleront dans la discussion et non dans la grève, pas de blocus façon CGT