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C'est un moment essentiel durant lequel l'un des plus grands patrons de la planète parle sans chichis ni langue de bois de la deuxième économie mondiale, la Chine, et de l'étrange climat des affaires qui y règne depuis quelques mois. En ce mois de juillet 2022, lors d'une table ronde organisée avec quelques journalistes à l'occasion de la présentation des résultats semestriels de Stellantis, son PDG Carlos Tavares se laisse aller à des confidences et des commentaires décapants sur l'empire du Milieu. Juste avant la pause estivale, le dirigeant franco-portugais met fin au rêve chinois du constructeur.
« Depuis quatre ou cinq ans, il y a une politisation dans la manière de mener des affaires en Chine qui est allée crescendo. J'ai senti un changement de comportement de mes partenaires d'aff...
Le désengagement de DongFeng en 2023 est la deuxième étape de cet heureux plan stratégique
Faudrait peut être aller plus loin...
Accuser est simple, mais gouvernements pour payer l'assistanat, et particuliers pour acheter moins cher au super marché ont tous poussé dans le même sens, foncer dans le mur. Le sacrosaint pouvoir d'achat a encore frappé. Merci à ceux qui se réveillent, mais la transition vers une certaine indépendance va être douloureuse. Les gilets jaunes ne sont rien a coté.
Seul remède, travailler plus pour gagner plus. Chiche !
L'Europe dans sa grande naïveté laisse rentrer toutes les marques automobiles chinoises sur son marché.
Ces marques vont faire des ravages chez les constructeurs européens, notamment du fait que la technologie chinoise en électrique est excellente.
Il serait temps de mettre un coup d'arrêt à ce mouvement.