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Douze kilos de métal montés sur caoutchouc, zéro protection pour l'utilisateur en cas d'accident, aucune aide à la conduite : bienvenue dans le futur. Le vélo est le mode de transport le plus encouragé par les politiques de mobilité urbaine. C'est vrai à Paris, Strasbourg, Berlin ou Londres, sans parler des métropoles qui ne l'avaient pas complètement abandonné au profit de l'automobile dans les années 1970, comme Amsterdam et Copenhague.
En plus de son bon bilan écologique, par temps de crise, la bicyclette a deux vertus. Elle ne coûte pas cher et elle est réparable presque à l'infini. À l'atelier « Mon beau vélo » situé rue Saint-Maur, à Paris, Anes, le mécanicien, règle un dérailleur quinquagénaire. La rénovation de vieux cycles est la spécialité de cette minuscule boutique. Les spéci...
Loin d'être un écolo forcené et passionné par l'auto, je n'en ai pas moins fait le choix du vélo il y a plus de trente ans. J'habite une grande ville. Simple raisonnement économique, gain de temps par rapport aux autres modes de transport et en prime, activité physique quotidienne. Tels ont été les points forts identifiés. Côté négatif, la météo, le vol (quatre vélos pendant toutes ces années de pédalage quotidien) et les accidents (juste une clavicule cassée en plus de trente ans !). D'ailleurs, un des critères d'emploi quand je cherchais à changer de boite était que je puisse m'y rendre en vélo.
Les mentalités ont tout de même bien changé en trente ans et je suis toujours aussi surpris quand je vois la différence entre l'époque où je devais être le seul et où tout le monde me traitait de malade et aujourd'hui.
Je pense qu'un des problèmes de ce mode de transport est le comportement de beaucoup de cyclistes qui se croient affranchis des règles de circulation. Voire des règles tout court. Mais malheureusement, je pense que leur comportement est le même à pied, en voiture ou quelel que soit leur façon de se déplacer...
En vieillissant, j'avoue peiner un peu plus en montée. Mais je continuerai à utiliser ce moyen de transport en ville tant que je le pourrai et à me balader en voiture (légère !) le weekend et pendants les congés !...
C’est la sécurité sociale ! Le pays quie est le moins touché en Europe par le fléau de l’obésité, sont les Pays-Bas. À méditer.
Lorsque j'ai débuté ma vie professionnelle, 7 ans après la fin de la guerre, à 18 ans, j'ai trouvé un bon job à 10km de chez mes parents. En conséquence, tous les jours, matin et fin de journée, je me tapais 10 bornes en vélo, par tous les temps, pour effectuer mes 48 heures par semaine. Et le vélo, ce n'était pas un électrique!
Et alors... Cela ne nous empêchait pas de nous occuper courtoisement des jeunes filles le samedi soir et le dimanche.
Reprendre le vélo plutôt que la voiture, il n'y a pas de quoi en faire un fromage !